Le vice-ministre de la justice, Samuel Mbemba Kanza a reçu, ce jeudi 23 janvier 2025 dans son lieu de travail, le président de la commission nationale des droits de l’homme de la République démocratique du Congo, Paul Nsapu. Et ce, dans le cadre du procès opposant la RDC et le Rwanda à la cour Africaine des droits de l’homme et de peuples (Cadhoc).
Au cours de ces discussions intenses articulées largement sur les questions liées à la situation sécuritaire qui prévaut dans la partie Est de la République démocratique du Congo, Paul Nsapu, président de cette structure congolaise des droits de l’homme a exprimé sa position au regard de ce procès, en cours, entre Kinshasa et Kigali.
Il a exprimé la disponibilité de cette organisation à apporter des preuves de crimes perpétrés dans l’Est de la RDC par le régime de Paul Kagame. Ceci s’ajoutera sur les multiples preuves de désastres qu’à causés les rebelles du mouvement du 23 Mars (M23), soutenu par l’armée rwandaise.
« En tant qu’institution d’appui à la démocratie, opérant sur toute l’étendue du territoire national congolais, nous disposons de nombreuses préuves des graves révélations des droits de l’homme perpétrées par notre agresseurs », a déclaré, le président de la communication nationale des droits de l’homme de la République démocratique Congo.
Le gouvernement congolais a chargé son agresseur qui n’est rien d’autre que le pays de Paul kagame, au niveau de la commission africaine des droits de l’homme et de peuples (Cadhoc), pour une panoplie de sabotages et violations des droits de l’homme causés sur les populations de l’Est de la RDC.
Cette démarche s’inscrit dans le cadre de mettre à nu, les projets destructeurs et nortunes du régime de Kigali. par ailleurs, le gouvernement congolais prend en témoins, les dirigeants africains et les membres permanents de conseil de sécurité de l’organisation des Nations-Unies.
IID